Re: Ratio Dextrine/Maltose
Publié : 22 mai 2020 20:58
Salut la compagnie,
Je n'ai pas grand chose à ajouter à mon petit article que cite Aza, si ce n'est que :
- "déterminer la proportion de fermentescible/non fermentescible" pose immédiatement la question "fermentescible par quoi/qui ?"
On ne peut pas faire abstraction de la levure, et quand on voit la proportion impressionnante de levures qui finissent par être testées STA1+ c'est loin d'être une question rhétorique.
- je pense qu'il est possible de déterminer un modèle de la cinétique d'activation des enzymes et d'en déduire les sucres extraits, à condition d'aller assez loin dans l'analyse des malts que nous utilisons. C'est en tout cas ce que suggère l'étude citée par Bastok, parmi d'autres. L'application pratique me semble limitée, par rapport à des tests d'atténuation limite comme ceux de KT.
- le graphique de Palmer est beau, je ne suis pas sûr de l'origine des données (Narziss 2005 ?), mais par contre je suis sûr qu'il n'est pas reproductible. Une part conséquente des études que j'ai croisé sur le sujet montre un pic de fermentabilité autour de 66-67°C.
Je n'ai pas grand chose à ajouter à mon petit article que cite Aza, si ce n'est que :
- "déterminer la proportion de fermentescible/non fermentescible" pose immédiatement la question "fermentescible par quoi/qui ?"
On ne peut pas faire abstraction de la levure, et quand on voit la proportion impressionnante de levures qui finissent par être testées STA1+ c'est loin d'être une question rhétorique.
- je pense qu'il est possible de déterminer un modèle de la cinétique d'activation des enzymes et d'en déduire les sucres extraits, à condition d'aller assez loin dans l'analyse des malts que nous utilisons. C'est en tout cas ce que suggère l'étude citée par Bastok, parmi d'autres. L'application pratique me semble limitée, par rapport à des tests d'atténuation limite comme ceux de KT.
- le graphique de Palmer est beau, je ne suis pas sûr de l'origine des données (Narziss 2005 ?), mais par contre je suis sûr qu'il n'est pas reproductible. Une part conséquente des études que j'ai croisé sur le sujet montre un pic de fermentabilité autour de 66-67°C.