Brassins et expériences ⇒ Vous avez dit gipsy ?
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- Spierrot
- Ch'ti nouveau
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Vous avez dit gipsy ?
Hey ! Yo ! Plop ! Pouet...
Ouais, ça se pose là comme introduction...
Spoil alert, pourquoi GIPSY : je brasse bien chez moi, mais disons que ma brasserie a autant d'allure qu'une caravane sans roue !
Notez le détail : le PC pour mater le tournoi des 6 Nations dans le jardin pendant l'ébu, lors d'un précédent brassin...
Je vous propose de partir à la découverte de mon dernier brassin : comme à chaque fois je pars d'une feuille blanche, de ce que j'ai goûté de mon dernier brassin, et GOOOO ! J'écris, je raye, je vérifie sur LittleBock ce que ça peut donner côté IBU, puis je change : je tâtonne quoi !
L'envie sur le dernier brassin : plus d'arôme et moins d'amertume ! Sujet à creuser pour un prochain slogan de manif !
Je base ma recette sur 14L (alors que le mec utilise un kit qui prévoit de faire 12L).
Je décide d'utiliser les 3,73 kg de pale qu'il me reste (du coup je monte ma recette à l'envers) + 130 gr de flocons d'avoine pour essayer d'avoir un peu de corps (et pis parce qu'il ne restait que ça dans la cuisine) + 300gr de candi blanc reçu par erreur dans mon dernier kit "saveur bière" pour essayer de booster ma DI.
Empâtage = 10,5L
10 min à 50°C
60 min à 65°C
Utilisation du fourquet toutes les 10 minutes
Rinçage = 7L à 80°C, versé en 3 fois. Détail qui a sans doute son importance : I brew in a bag...
Début d'ébullition : environ 15 L. Densité à 20°C = 1,039
Ebullition 60 minutes avec :
10gr de Chinook à 45 minutes
15gr de Styrian Aurora à 10 minutes
10gr de Styrian Aurora hors flamme pendant 15 minutes, à partir de 80°C jusqu'à 40°C (je commence mon refroidissement après avoir commencé mon hop stand)
J'utilise là encore un p'tiot sac à houblons, dans lequel je jette mes pellets au fur et à mesure de la recette.
J'ai dû faire mon whirpool avant le hop stand.
J'ai également essayer l'irish moss pour la première fois : 4gr dans quelques cL d'eau du robinet, je secoue bien, et on balance dans le p'tiot sac à houblons en même temps que les 15gr de Styrian Aurora, pour avoir 10 minutes d'ébu dessus.
Fin d'ébullition : environ 12,5-13 L.
Et la partie la plus sympa, celle du porteur d'eau qui ne veut pas utiliser l'eau du robinet par souci écolo, et parce qu'il a plusieurs réserves d'eau de pluie ! J'ai en effet une réserve de plusieurs centaines de litres, en plastique le long du cabanon où je brasse, et qui récupère l'eau sur son toit végétal : c'est principalement cette source que j'utilise, notamment quand il fait froid où l'eau est à peu près à température de l'air extérieur, car elle est facilement accessible via et un robinet et mes seaux de maçon. L'été, j'ai une très grande réserve sous la maison (une vingtaine de m3 qui récupère les eaux de pluie de la toiture. L'eau y est toujours froide, mais je dois utiliser une pompe vide-cave montée en 32mm, avec un débit beaucoup fort pour l'utiliser efficacement jusqu'à présent, sauf encore une fois à remplir mes seaux...
Le super montage...
Alors... La cuve d'ébullition est mise dans une vieille lessiveuse où je verse mon eau froide, le tout placé dans une poubelle : coup d'bol, ça tient tout pile. La nécessité de placer le tout en hauteur vient du fait que je siphonne l'eau qui réchauffe (d'où le ch'tiot tuyau) que je remplace au fur et à mesure par de l'eau froide.
Donc là j'ai un amas floconneux, qui malgré le whirpool vient me rendre visite à la surface de la cuve : protéines ? pelets ?
En plus de casser le dos, ce refroidissement est assez long... On peut même finir de nuit l'hiver, quand on commence assez tard dans l'aprem...
J'avais déjà imaginer et essayer un système dans une poubelle plastique de 100L, mais ce ne fut pas idéal donc je suis arrivé à cette méthode par siphonnage. Je ne lâche pas l'affaire pour mon refroidisseur écolo, mais cela fera l'objet d'un autre topic !
Au final tout va bien, jamais eu de contamination comme cela (même si sur celui-ci j'ai eu le couvercle ouvert plus souvent que d'habitude).
Une fois refroidi à 24°C, je transfère dans mon fermenteur en plastique puis ensemence (1 paquet de S-33). J'ai préféré transférer en vidant de la cuve au fermenteur (tant pis pour l'oxydation), car je ne savais pas où était exactement mon amas floconneux, et mon transvaseur est très peu rapide, surtout que je dois garder la main sur canne pour que le moût circule bien : super long et fastidieux !
DI = 1,049
J'ai finalement récupéré 10,5L dans mon fermenteur, environ 2,3L un peu trop sale à mon goût reste au fond de ma cuve.
Je suis déjà en contradiction avec les prédictions Littlebock, qui m'indiquent :
DI = 1,058
DF = 1,015
EBC = 11
IBU = 31,5
ABV = 5,6
Mon fermenteur est pour le moment dans la cuisine (20°C), avant de descendre à la cave si la température le permet.
Glouglou de 24-48h, déjà arrêté.
La suite d'ici minimum 15 jours, d'ici là je vous laisse le soin de dézinguer ma méthode, de saluer ma besognerie, de disrupter ma recette ou bien de me donner vos avis éclairés !
Ouais, ça se pose là comme introduction...
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Notez le détail : le PC pour mater le tournoi des 6 Nations dans le jardin pendant l'ébu, lors d'un précédent brassin...
Je vous propose de partir à la découverte de mon dernier brassin : comme à chaque fois je pars d'une feuille blanche, de ce que j'ai goûté de mon dernier brassin, et GOOOO ! J'écris, je raye, je vérifie sur LittleBock ce que ça peut donner côté IBU, puis je change : je tâtonne quoi !
L'envie sur le dernier brassin : plus d'arôme et moins d'amertume ! Sujet à creuser pour un prochain slogan de manif !
Je base ma recette sur 14L (alors que le mec utilise un kit qui prévoit de faire 12L).
Je décide d'utiliser les 3,73 kg de pale qu'il me reste (du coup je monte ma recette à l'envers) + 130 gr de flocons d'avoine pour essayer d'avoir un peu de corps (et pis parce qu'il ne restait que ça dans la cuisine) + 300gr de candi blanc reçu par erreur dans mon dernier kit "saveur bière" pour essayer de booster ma DI.
Empâtage = 10,5L
10 min à 50°C
60 min à 65°C
Utilisation du fourquet toutes les 10 minutes
Rinçage = 7L à 80°C, versé en 3 fois. Détail qui a sans doute son importance : I brew in a bag...
Début d'ébullition : environ 15 L. Densité à 20°C = 1,039
Ebullition 60 minutes avec :
10gr de Chinook à 45 minutes
15gr de Styrian Aurora à 10 minutes
10gr de Styrian Aurora hors flamme pendant 15 minutes, à partir de 80°C jusqu'à 40°C (je commence mon refroidissement après avoir commencé mon hop stand)
J'utilise là encore un p'tiot sac à houblons, dans lequel je jette mes pellets au fur et à mesure de la recette.
J'ai dû faire mon whirpool avant le hop stand.
J'ai également essayer l'irish moss pour la première fois : 4gr dans quelques cL d'eau du robinet, je secoue bien, et on balance dans le p'tiot sac à houblons en même temps que les 15gr de Styrian Aurora, pour avoir 10 minutes d'ébu dessus.
Fin d'ébullition : environ 12,5-13 L.
Et la partie la plus sympa, celle du porteur d'eau qui ne veut pas utiliser l'eau du robinet par souci écolo, et parce qu'il a plusieurs réserves d'eau de pluie ! J'ai en effet une réserve de plusieurs centaines de litres, en plastique le long du cabanon où je brasse, et qui récupère l'eau sur son toit végétal : c'est principalement cette source que j'utilise, notamment quand il fait froid où l'eau est à peu près à température de l'air extérieur, car elle est facilement accessible via et un robinet et mes seaux de maçon. L'été, j'ai une très grande réserve sous la maison (une vingtaine de m3 qui récupère les eaux de pluie de la toiture. L'eau y est toujours froide, mais je dois utiliser une pompe vide-cave montée en 32mm, avec un débit beaucoup fort pour l'utiliser efficacement jusqu'à présent, sauf encore une fois à remplir mes seaux...
Le super montage...
Alors... La cuve d'ébullition est mise dans une vieille lessiveuse où je verse mon eau froide, le tout placé dans une poubelle : coup d'bol, ça tient tout pile. La nécessité de placer le tout en hauteur vient du fait que je siphonne l'eau qui réchauffe (d'où le ch'tiot tuyau) que je remplace au fur et à mesure par de l'eau froide.
Donc là j'ai un amas floconneux, qui malgré le whirpool vient me rendre visite à la surface de la cuve : protéines ? pelets ?
En plus de casser le dos, ce refroidissement est assez long... On peut même finir de nuit l'hiver, quand on commence assez tard dans l'aprem...
J'avais déjà imaginer et essayer un système dans une poubelle plastique de 100L, mais ce ne fut pas idéal donc je suis arrivé à cette méthode par siphonnage. Je ne lâche pas l'affaire pour mon refroidisseur écolo, mais cela fera l'objet d'un autre topic !
Au final tout va bien, jamais eu de contamination comme cela (même si sur celui-ci j'ai eu le couvercle ouvert plus souvent que d'habitude).
Une fois refroidi à 24°C, je transfère dans mon fermenteur en plastique puis ensemence (1 paquet de S-33). J'ai préféré transférer en vidant de la cuve au fermenteur (tant pis pour l'oxydation), car je ne savais pas où était exactement mon amas floconneux, et mon transvaseur est très peu rapide, surtout que je dois garder la main sur canne pour que le moût circule bien : super long et fastidieux !
DI = 1,049
J'ai finalement récupéré 10,5L dans mon fermenteur, environ 2,3L un peu trop sale à mon goût reste au fond de ma cuve.
Je suis déjà en contradiction avec les prédictions Littlebock, qui m'indiquent :
DI = 1,058
DF = 1,015
EBC = 11
IBU = 31,5
ABV = 5,6
Mon fermenteur est pour le moment dans la cuisine (20°C), avant de descendre à la cave si la température le permet.
Glouglou de 24-48h, déjà arrêté.
La suite d'ici minimum 15 jours, d'ici là je vous laisse le soin de dézinguer ma méthode, de saluer ma besognerie, de disrupter ma recette ou bien de me donner vos avis éclairés !
- Hellwood
- Brasseur
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Re: Vous avez dit gipsy ?
Hello,
Juste l'Irish moss que tu peux balancer directement dans ta cuve, pas besoin de le mettre dans le sac à houblons.
Je pense même que c'est contre-productif dans le sac, car ça doit empêcher la diffusion du produit dans le moût (et ça peut même impacter tes houblons qui se retrouvent en contact étroit avec ce gel gluant).
Juste l'Irish moss que tu peux balancer directement dans ta cuve, pas besoin de le mettre dans le sac à houblons.
Je pense même que c'est contre-productif dans le sac, car ça doit empêcher la diffusion du produit dans le moût (et ça peut même impacter tes houblons qui se retrouvent en contact étroit avec ce gel gluant).
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- Penn-Maen
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Re: Vous avez dit gipsy ?
j'aime bien l'idée de brasser dans la poubelle
Regarde, écoute, questionne, apprend, transmet, recommence sans cesse
Disclaimer : je dis certainement plus de conneries que la moyenne, alors vérifiez !
→ SE PRESENTER ...et... Guide pour débutants ←
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- Kapsul
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Re: Vous avez dit gipsy ?
Yep, pour l'essentiel ce sont des protéines coagulées (les interactions se renforcent avec la chute brutale de température) et à cela s'ajoute des tanins et/ou composés phénoliques qui peuvent aussi contribuer à la formation des nuages. Tout ca en proportions variables selon ta recette.
Donc oui c'est une bonne chose, et normal malgré un whirpool effectué auparavant, par contre à ce stade il ne faudrait plus remuer le mout jusqu'au transfert, idéalement tu peux laisser 15-20mn de repos histoire que ca retombe au fond de la cuve.
Grand luxe ton install' ! Espace détente / cybercafé en terrasse
- Spierrot
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Re: Vous avez dit gipsy ?
Merci pour vos retours !
@Hellwood
Première utilisation de l'irish moss : j'ai lu plusieurs manières de l'utiliser, notamment sans eau en la jetant directement dans la cuve. J'ai préféré la délayer dans un peu d'eau froide, est-ce nécessaire ? J'essaierais directement dans la cuve la prochaine fois, à voir si j'ai un produit plus limpide que d'habitude dans un premier temps sur ce brassin ! Et je n'ai pas cet aspect gélatineux... Peut-être s'est-il formé après dans la cuve ?
@Penn-Maen
En effet, ma conjointe se fout bien de moi... Mais pour un investissement minimum, c'est relativement efficace !
@Kapsul
Pour passer en fermenteur, est-il préférable d'utiliser un transvaseur, ou de verser comme j'ai fait ? Le but étant d'optimiser le volume récupéré sans dépôt, et de limiter une éventuelle oxydation (préjudiciable pour le houblon à ce que j'en comprends).
Ouais, y'a le hamac qui est juste à côté, mais devant les 6 Nations c'est pas vraiment la saison encore !
@Hellwood
Première utilisation de l'irish moss : j'ai lu plusieurs manières de l'utiliser, notamment sans eau en la jetant directement dans la cuve. J'ai préféré la délayer dans un peu d'eau froide, est-ce nécessaire ? J'essaierais directement dans la cuve la prochaine fois, à voir si j'ai un produit plus limpide que d'habitude dans un premier temps sur ce brassin ! Et je n'ai pas cet aspect gélatineux... Peut-être s'est-il formé après dans la cuve ?
@Penn-Maen
En effet, ma conjointe se fout bien de moi... Mais pour un investissement minimum, c'est relativement efficace !
@Kapsul
Pour passer en fermenteur, est-il préférable d'utiliser un transvaseur, ou de verser comme j'ai fait ? Le but étant d'optimiser le volume récupéré sans dépôt, et de limiter une éventuelle oxydation (préjudiciable pour le houblon à ce que j'en comprends).
Ouais, y'a le hamac qui est juste à côté, mais devant les 6 Nations c'est pas vraiment la saison encore !
- Leberrichondud
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maischfest avec une cuve de rinçage électrique,
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Re: Vous avez dit gipsy ?
Mon utilisation perso de l irish moss :
Les 5g dans un pot, j y met du mout en début d ebu que je laisse le temps de l ébullition. Histoire de le délayer. J avais lu qu il était préférable de le "préparer" à chaud.
Avant je l émiettait mais j ai arrêté sans voir de différence à l utilisation.
Par contre je le jete direct dans le mout et pas dans le hopspider (inconvénient : ça laisse qq morceaux sur le serpentin à nettoyer)
Les 5g dans un pot, j y met du mout en début d ebu que je laisse le temps de l ébullition. Histoire de le délayer. J avais lu qu il était préférable de le "préparer" à chaud.
Avant je l émiettait mais j ai arrêté sans voir de différence à l utilisation.
Par contre je le jete direct dans le mout et pas dans le hopspider (inconvénient : ça laisse qq morceaux sur le serpentin à nettoyer)
- Kapsul
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Re: Vous avez dit gipsy ?
De mon coté je transfère par le robinet + tuyau silicone, ou aussi un transvaseur qu'il m'arrive d'utiliser.
Les raisons :
- first, question de sécu, 5-10-15L ok mais après ton dos te remerciera d'utiliser un outil approprié !
- oui c'est plus long qu'un déversement direct, mais justement ca à l'avantage de ne pas perturber le dépôt, je limite même le débit.
- conséquence du second point tu transfère plus de mout clair, et donc moins de pertes.
- ta question sur l'oxydation est à part : c'est justement la seule étape où il faut réapporter de l'oxygène à ton mout, nécessaire aux levures.
Donc un gentil splash dans de bonnes conditions d'hygiène est indispenblable (sauf en s'équipant d'une pierre de diffusion + bouteille d'O²)
- Hellwood
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Re: Vous avez dit gipsy ?
Je n’ai pas été clair dans mes propos, désolé.
En effet, il semble préférable de délayer l’Irish Moss avant utilisation (dans un liquide chaud comme indique Dud), sinon tu te retrouves avec des morceaux qui se baladent dans la cuve (perso je mixais même cette prépa dans un petit hachoir électrique histoire que ce soit bien délayé).
Lorsque je dis de "balancer directement dans la cuve" c’est de cette prépa dont je parlais. Tu peux la verser directement dans le moût (en libre) sans passer par le sac à houblons.
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- Spierrot
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Re: Vous avez dit gipsy ?
@Leberrichondud et Hellwood
OK je note pour la prochaine : à délayer dans le chaud, directement dans la cuve. Au vu de mon refroidissement, et essayant de passer par le transvaseur la prochaine fois pour transférer dans le fermenteur, je ne devrais pas trop être embêter par les résidus !
@Kapsul
Malheureusement, pas de robinet sur ma cheap cuve... Et le transvaseur, avec 18s par litre via la tige de remplissage, ça peut se faire : assis devant la cuve pendant 5 minutes à appuyer la tige sur le fond du fermenteur, c'est pas si compliqué en effet !
Si je n'apporte pas d'oxygène à ce moment là, un touillage de qualité après avoir ensemencer peut sans doute suffire ?
Des pistes pour ma DI qui est inférieur à ce qui était prévu : est-ce dû au fait que je BIAB ? Littlebock surestimes toujours ?
OK je note pour la prochaine : à délayer dans le chaud, directement dans la cuve. Au vu de mon refroidissement, et essayant de passer par le transvaseur la prochaine fois pour transférer dans le fermenteur, je ne devrais pas trop être embêter par les résidus !
@Kapsul
Malheureusement, pas de robinet sur ma cheap cuve... Et le transvaseur, avec 18s par litre via la tige de remplissage, ça peut se faire : assis devant la cuve pendant 5 minutes à appuyer la tige sur le fond du fermenteur, c'est pas si compliqué en effet !
Si je n'apporte pas d'oxygène à ce moment là, un touillage de qualité après avoir ensemencer peut sans doute suffire ?
Des pistes pour ma DI qui est inférieur à ce qui était prévu : est-ce dû au fait que je BIAB ? Littlebock surestimes toujours ?
- Kapsul
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Re: Vous avez dit gipsy ?
Je n'avais pas compris que tu utilises une tige d'embouteillage comme transvaseur, effectivement ça peut être laborieux..
Comme compromis tu peux t'equiper avec un auto siphon, ce sera plus rapide et tu peux contrôler la hauteur de prélèvement depuis ta cuve.
Pour l'oxygène oui un bon touillage fait l'affaire, ou encore si ton fermenteur le permet tu le secoue bien une fois fermé.
Comme compromis tu peux t'equiper avec un auto siphon, ce sera plus rapide et tu peux contrôler la hauteur de prélèvement depuis ta cuve.
Pour l'oxygène oui un bon touillage fait l'affaire, ou encore si ton fermenteur le permet tu le secoue bien une fois fermé.
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